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Boulimie |Comment j’ai géré ces émotions de Boulimie ?

Dernier jour à Rome. J’ai vécu des émotions fortes dans cette vidéo, je me suis sentie mal. Vous verrez dans cette vidéo comment j’ai fait pour gérer ces émotions et ne pas avoir besoin de manger ou faire de crise de boulimie. Cela vous aidera à sortir de la boulimie. Vous découvrirez également mes aventures à Rome et mes repas.

Comment j’ai géré ces émotions (et sortir de la boulimie) ?

Comment j’ai géré mes émotions ?

Je suis Magali LE ROUX, j’ai été boulimique pendant 8 ans et je m’en suis sortie. Je suis là aujourd’hui pour vous aider à vous en sortir vous aussi et à être beaucoup plus heureux.

Je suis à Rome en ce moment, c’est mon dernier jour à Rome… Dans cette vidéo je vais vous montrer un petit peu ce que j’ai fait dans ma journée, je vais vous faire un peu visiter, je vais vous montrer aussi ce que j’ai mangé et je vous expliquerai comment j’ai géré mes émotions parce que j’ai eu des émotions. Je vous explique comment j’ai géré ces émotions là pour me sentir beaucoup mieux après et sans avoir besoin de la nourriture pour les gérer.

Avant de vous montrer cette vidéo et de vous montrer un petit peu tout, si vous voulez mieux connaître les principales causes de la boulimie, avoir des conseils pour vous en sortir et aussi découvrir mon histoire, je vous invite à vous inscrire (sur le lien en dessous de la vidéo) au . A tout de suite pour les aventures de mon dernier jour à Rome…

Voilà, dernier jour à Rome… il est midi, avec tout ce que j’ai mangé hier soir je n’ai vraiment pas faim. Je n’ai pas mangé ce matin, j’ai bu un peu de café et un peu de thé… je n’ai pas du tout faim et j’ai encore moins envie de manger de pizza comme celle que j’ai mangé hier… C’est parti pour une journée promenade, il fait super beau en plus !

Petite pause, là je commence à avoir un petit peu faim. J’avais emporté quelques fruits, des jus de pommes et 2 / 3 bananes… ça me va très bien  et vu tout ce que j’ai mangé hier au cours de la soirée j’avoue : je n’ai pas du tout envie de manger de pizza… J’avoue que j’ai surtout envie de manger des fruits.

Arrivée au Vatican, c’est blindé de monde, je suis un petit peu fatiguée aujourd’hui parce qu’hier j’ai un peu trop marché… donc je vais voir ce que je peux faire, mais je n’ai pas spécialement envie d’être dans la foule. Je pense que ça va être une journée assez courte, assez tranquille…

Finalement je n’ai pas pu visiter le Vatican, j’ai quand même tenté mais les chiens sont interdits… donc je retourne à la maison, sachant que je suis un petit peu fatiguée…. En fait ça fait quand même une semaine que je marche plusieurs heures par jour… et hier j’ai vraiment beaucoup marché…

Donc là, j’ai plus envie de rentrer, de me reposer, de travailler un petit peu… Je vais réserver mon énergie pour les autres jours… demain j’aimerai bien être vraiment en forme ! … Donc voilà : une journée tranquille…enfin, j’aurais juste et quand même fait au moins 2 heures de marche…

Je suis bientôt arrivée, j’en peux plus ! Je suis crevée et comme dans une des vidéos que j’avais faite à Milan : je sens qu’il y a trop de bruits, trop de voitures… c’est trop pour moi ! Là du coup, je sens que j’ai besoin de rentrer…

Aussi, j’ai pas mal faim… donc je vais manger le reste de pizza d’hier, il reste ½ pizza… et j’ai acheté un petit peu de salade avec des fraises, des oranges et des pommes. Je vais manger maintenant, il est 4h, ça me fera aussi et peut-être pour ce soir, je verrai… j’avais trop envie de ça.

Je viens de faire une sieste, j’ai eu pas mal d’émotions, je vous en parlerai un tout petit peu plus tard dans cette vidéo. Je viens de manger une petite pomme, je n’avais pas faim mais en général quand je fais une sieste l’après-midi : je suis un petit peu dans le « pâté » et le fait de manger un petit truc ça me remonte un peu… Même si je sais que je n’ai pas faim, j’aime bien manger un petit truc quand je me réveille…

Il y a un petit lapin au bord de la route, normal quoi…

Finalement petite balade au Parc Caffarella, c’est un parc assez sauvage… il y a quand même du monde… et c’est du sport car il y a des trous… Je vais en profiter pour vous parler de mes émotions et  vous dire comment j’ai géré mes émotions…

Je ne sais pas si vous avez vu la vidéo que j’avais faite quand j’étais à Milan, celle où justement je ne respectais pas suffisamment mes besoins… je n’étais plus à l’écoute de mes besoins, je sentais que j’avais trop de stress par rapport à la ville…

En fait aujourd’hui et pour vous expliquer : je n’étais pas très bien à un moment… je ne me sentais pas bien, je me sentais un petit peu comme si j’étais déprimée… voilà, je ne me sentais vraiment pas bien…

Je me souviens que quand j’étais dans la boulimie et que je me sentais comme ça, il fallait que je mange, que je fasse une crise de boulimie… ça apaisait mes émotions. Là, je dirais déjà que j’avais remarqué que j’étais fatiguée. Ça fait déjà plusieurs jours que je marche et mon corps n’en a pas l’habitude…

En plus j’ai fait la fête hier… donc je suis un petit peu fatiguée : besoin de me reposer. Me reposer aussi de l’environnement stressant de la ville qui est un petit peu dur pour moi… donc je suis rentrée et je me suis reposée dans mon lit… Là, j’ai ressenti des émotions assez dures à ressentir… sur le moment ça a été comme si j’étais déprimée, comme si ça n’allait pas…

Déjà, j’ai ressenti de la culpabilité parce que je me disais : « C’est mon dernier jour à Rome, j’ai pas tout vu… !!! ». C’était l’après-midi, il faisait bon dehors et moi je restais enfermée dans ma chambre… donc je culpabilisais…

Je me disais : « Mais je ne suis pas à Rome pour rester enfermée dans ma chambre… ». En fait, disons qu’il y avait une partie de moi (c’était un peu mon enfant blessé) qui était là et qui culpabilisait : c’était mon petit enfant intérieur qui ressentait de la culpabilité….

Cet enfant disait : « Faut pas que tu restes là ! Faut pas que tu restes enfermée dans ta chambre ! Il faut que tu sortes ! Il fait beau, pourquoi tu restes enfermée ? C’est pas bien… tu profites pas ! T’es en voyage et tu profites pas ! »….

Et il y avait une autre partie de mon enfant intérieur qui était triste… il était triste, pourquoi ? Parce qu’en fait hier j’ai passé une super soirée avec des français. On a passé plusieurs jours ensemble dans l’endroit où je suis : un loft super sympa et hyper convivial… donc cette partie de moi était triste parce qu’elle ne supportait pas la séparation…

En fait demain je pars assez tôt… et du coup cette partie de moi, ce petit enfant intérieur, était là  et disait : « Mais je ne vais plus revivre ça, je vais devoir me séparer de cet endroit et de ces gens, je ne vais plus vivre ces moments… ». Il y a la blessure de la séparation qui a été activé : cet enfant intérieur a cette blessure là…

Il y avait la culpabilité d’une part… et de l’autre il y avait cette blessure de séparation qui était là… j’ai ressenti ça. Donc qu’est-ce que j’ai fait ? C’est vrai que maintenant : plus je me connais et plus je connais mes besoins… j’y ai travaillé et j’arrive à repérer mes émotions. Donc, j’ai ressenti de la culpabilité et de la tristesse.. et j’ai accueilli ça…

Puis il y a eu une autre partie de moi, celle qui est un peu le parent et qui accueille les émotions, qui accueille la culpabilité et la tristesse de l’enfant intérieur qui a le droit de ressentir ces émotions. Votre enfant intérieur a aussi le droit de ressentir de la culpabilité, de la tristesse, de la peur… donc et déjà : c’est accueillir ces émotions.

Là, j’ai accueilli ces émotions et ma partie parent était là et a rassurer l’enfant. Elle a rassuré mon enfant intérieur en lui disant : « Mais tu sais, au final tu vas en vivre d’autres des moments comme ça (par rapport à la blessure de séparation)… Là tu vas partir, mais tu vas rencontrer d’autres situations, tu vas être dans d’autres endroits et tu vas rencontrer d’autres personnes qui vont être aussi formidables que les personnes que tu as rencontré là… donc ce n’est pas terminé, peut-être que les gens tu ne les reverras pas, peut-être que la situation tu ne la revivras pas, mais le bonheur que tu peux ressentir en ce moment tu vas le revivre… ».

Voilà, oui je vais revivre ces moments de bonheur, ce ne sera peut-être pas avec les mêmes personnes, ce ne sera peut-être pas les mêmes situations… mais je vais en revivre. Disons que plus on a une vie qui nous plaît… et plus c’est facile en fait de penser ça, de ressentir ça…

Ça a rassuré mon enfant intérieur… donc : « Oui je vais revivre d’autres situations qui vont me procurer du bonheur »… Et par rapport à la culpabilité que je pouvais ressentir, mon parent a dit à mon petit enfant intérieur : « Mais tu as le droit d’être fatiguée, tu n’es pas obligée de sortir, de toute façon tout à l’heure tu es sortie et tu n’étais pas forcément bien… donc tu as le droit de te reposer, tu as le droit d’être fatiguée et de te reposer… au contraire, tu vas être en forme pour demain… puis même, après s’il ne fait pas beau et bien ce sera différent ensuite… mais là en tout cas tu es à l’écoute de tes besoins… »…

Mon parent était là et il rassurait l’enfant sur le fait qu’il soit à l’écoute de ses besoins, que là ce n’était peut-être pas le moment d’être dehors… que même si il y avait un beau soleil, que même si peut-être je ne reviendrais plus à Rome… il rassurait sur tout…

Donc quand je dis que je gère mes émotions, c’est qu’au final : je suis à l’écoute de ce que ressens ! Là je ressentais de la culpabilité et de la tristesse (c’est ce qui était le plus fort), aussi j’étais fatiguée et ça avait forcément un impact… en tout cas, moi je ne sens pas trop de la joie quand je suis fatiguée comme ça…

Je ressentais surtout de la culpabilité et de la tristesse, j’ai reconnu mes émotions, ensuite je les ai accueilli et je les ai accepté. Mon parent (la partie intérieure de moi et qui est le parent) a accueilli les émotions du petit enfant intérieur blessé et qui ressentait ces émotions là…

La partie parent intérieur ayant rassuré l’enfant blessé… l’enfant blessé s’étant senti mieux… j’ai pu m’endormir ! Et voilà, maintenant je suis contente… puis finalement, la visite que je voulais faire et que je ne pensais pas faire…ben au final : j’y suis là !… Même si je ne l’avais pas faite, ce ne serait pas grave : j’aurais peut-être fait et vécu d’autres choses et d’autres moments que dans ce parc…

C’est tout ça quand je vous dis d’être à l’écoute de vos émotions, de les reconnaître et de les accueillir, d’être plus à l’écoute de votre corps… et ça deviendra de plus en plus facile si vous prenez le temps de le faire. C’est sûr que si vous faites plein d’activités, ça peut être difficile d’être à l’écoute de vos émotions…

Aujourd’hui je me suis posée au lieu de me noyer dans les activités et dans la nourriture. J’ai pris le temps de me poser et de faire face à ce que je ressentais, d’être à l’écoute. J’ai accueilli les émotions du petit enfant intérieur blessé pour pouvoir ensuite le rassurer… Peut-être que vous pourriez trouver des solutions qui vont vous permettre, vous aussi, d’apaiser vos émotions ?…

A chaque fois que je me rassure, je cicatrise des blessures qui sont en moi. Donc voilà, on avance,   et je trouve ce voyage génial car que je ressens des nouvelles émotions, je vous en fait profiter et aussi j’apprends sur moi et j’évolue toute seule en fait…

Vraiment, vous allez voir que plus vous allez être à l’écoute de vos émotions, les accueillir parce qu’elles ont le droit d’être là et que vous avez le droit de penser certaines choses, d’avoir un enfant intérieur qui est blessé, que plus vous allez le faire… et moins vous aurez moins besoin des crises de boulimie.

Parce qu’au final, les crises de boulimie sont souvent liées à l’envie de manger pour cacher ses émotions, pour faire comme s’il n’y avait rien… parce que c’est trop dur à vivre. Plus vous ferez face à vos émotions… et moins vous aurez besoin des crises de boulimie et de la nourriture pour les cacher.

Je viens de rentrer de ma balade et j’ai rencontré mon hôte, on a bu un petit verre de vin avec quelques chips et il m’a invité au restaurant… Je n’avais pas une grande faim, mais c’était sympa de profiter de ce moment et de cette dernière soirée… donc voilà je mange des pâtes… et voilà mon  hôte qui est en train de manger. On va passer une bonne soirée… une bonne dernière soirée !

La soirée est terminée, les pâtes étaient super bonnes. Je sais que pour certains ça aurait pu être hyper dur de manger ça parce qu’il y avait beaucoup d’huile… mais pour moi c’était super bon et c’était le principal ! Du coup j’ai tout mangé, après j’ai bu un cappuccino… c’était une bonne soirée !  Je n’avais pas trop faim… mais au final on a passé une bonne soirée… donc c’était cool. C’est important de se faire plaisir quand on a envie…

Si vous avez aimé cette vidéo, si vraiment ça vous a apporté beaucoup de choses, que ça vous a apporté des déclics… n’hésitez pas à mettre un « Like » juste en dessous et à partager cette vidéo si vous pensez qu’elle peut aider d’autres personnes. Plus j’aiderai de personnes et plus je serai contente, l’objectif c’est qu’on puisse tous s’entraider…

Demain je pars pour une autre destination, si vous voulez être au courant des prochaines vidéos de mon voyage et de mes expériences, vous pouvez vous abonner sur ma chaîne Youtube ou vous inscrire sur le lien juste en dessous pour recevoir un mail à chaque fois qu’une nouvelle vidéo est publiée.

Je vous dis à demain ou à bientôt pour la prochaine vidéo, la prochaine destination…

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